lundi 14 novembre 2011

BON

4 questions posées par un français qui travaille bien tous les jours,

qui produit des richesses de la compétence et de l’emploi,

qui n’a pas de dettes et qui n’est pas en crise,

qui est plutôt bien vu dans sa profession même si elle n’a pas de système de notation et ce depuis 1980.


On (les médias, les politiques) parle de :


- La dette :

À qui ?

Mais à qui doit-je cet argent ? À deux ou trois grands financiers privés, sinon à qui ?

L’argent emprunté n’existait d’ailleurs sûrement pas à l’époque de l’emprunt.

Que se passerait-il si la banque de France remboursait la dette ?

Est-ce que l’inflation empêcherait la croissance ?


- Les taux d’intérêt

Comment sont-ils fixés ? Démocratiquement ?

(Ah la démocratie! Autre chapitre dans le grand livre «Prend-moi pour un c…»)

Quel mécanisme fait augmenter les taux d’intérêt ?

Qui pourrait décider que ces intérêts ne sont pas dus ?

Quelle politique pourrait avoir le moindre contre-pouvoir face aux marchés financiers ?


- La notation

quels critères ?

Sont-ce eux qui nous jugent, nous notent sur notre production, notre excellence quotidienne ?

Nous travaillons bien, ça va.

S’ils sont riches qu’ils le restent, c’est bien, mais sans nous appauvrir

par des mécanismes occultes et sûrement illégaux.


- La crise

Crise de quoi ?

Les ressources sont les mêmes, nous sommes plus nombreux à travailler

donc à produire plus de richesses et de technologie.

Ce n’est pas un gâteau que l’on se partage, chacun produit sa part.

Où est ce gâteau qui logiquement doit grossir ?


Christian Debanne








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